Cette rencontre qui réunit des parlementaires nigériens, burkinabé, tchadiens, maliens et mauritaniens est la suite du raout tenu à Niamey en juillet dernier. Elle a été coprésidée par les présidents des ensembles du Niger et de la France. Une délégation dirigée par le président de l’assemblée nationale Ousseini Tinni. Pour faire réussir le G5 Sahel, ils avaient adopté des recommandations en matière de développement et de sécurité.
Le Niger en première ligne
Ainsi, il est décidé d’élargir cette initiative au parlement des pays européens qui sont contributeurs de l’alliance Sahel. «Il s’agissait pour les parlementaires d’accompagner le G5 Sahel dans son développement non pas avec l’esprit bureaucratique mais avec la volonté ferme de gérer l’écosystème sécuritaire. Il s’agit de vous assurer qu’il se construit sur le regard populaire en recherchant toutes les conditions possibles d’efficacité » déclare Ousseini Tinni. S’agissant de la structure, elle se veut comme un cadre d’information de concertation, de dialogue et surtout de contrôle démocratique.
La délégation nigérienne qui a activement participé aux travaux comprenait les honorables députés Hadiza Seyni et Abdou Issaka qui ont fait des exposés respectivement sur le rôle des femmes dans le développement et la sécurité et les priorités des politiques de développement des pays du G5 Sahel.
Par OKD avec Confidentiel Afrique
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