À la faveur de cette découverte dangereuse qui inquiète plus d’un, l’entreprise entend suspendre ses activités et se plier aux normes d’autorisation pour l’exportation du produit à travers les ports africains.
C’est depuis son siège en Suisse que le groupe Glencore révèle avoir détecté la présence d’Uranium dans l’hydroxyde de Cobalt produit dans le cadre du projet Kamoto. Les analyses ont démontré l’existence d’un niveau supérieur d’uranium dans l’élément chimique.
Une découverte aux relents sinistres
Ouvriers de la production et personnes en contact avec le produit chimique pourraient tous être en danger. Le groupe Glencore a donc pris ses précautions. Selon le communiqué qui a révélé l’affaire, «Katanga Mining suspendra temporairement l’exportation et la vente de Cobalt dans le cadre de son projet Kamoto en République démocratique du Congo>>. L’entreprise souhaite ouvrir une enquête pour déterminer l’origine des failles dans le système d’exploitation mis en place. Le groupe Glencore compte également investir 25 millions de dollars pour assurer le respect des normes environnementales et sécuritaires dans leurs industries minières.
Par FM avec Confidentiel Afrique
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