LA JEUNESSE MALIENNE VIENT DE DONNER L’ASSAUT POUR LIBÉRER L’AFRIQUE.
Le réveil de la jeunesse africaine. L’heure a sonné et de façon irréversible, pour que les peuples africains prennent leur destin en mains.
Désormais, rien ne sera plus jamais comme avant. Plus question, à ce que les populations africaines continuent à croupir dans la déchéance, la pauvreté, l’analphabétisme, la drogue, laissées à elles-mêmes, face à toutes les menaces de pandémie sans lendemains d’espoir ou d’espérance.
Cette situation macabre dans laquelle les africains sont plongés, voici plus d’une soixantaine d’années, n’aurait jamais pu continuer sans la complicité et la TRAÎTRISE d’une meute, d’une harde d’africains noirs comme le goudron à la solde de la puissante métropole française toujours sans état d’âme, entrain de bâillonner leur peuple sempiternellement meurtri. Meurtri par un manque de structures sanitaires de qualité, meurtri par un manque criard d’écoles de qualité, meurtri par la faim, l’ignorance, l’insécurité galopante, meurtri par une justice INJUSTE, meurtri par l’extorsion de leurs propriétés foncières par des prédateurs, meurtris par les vols récurrents de leurs semences agricoles par des agriculteurs du DIMANCHE PANTOUFFLARDS, entre autres.
Il faudrait que l’Afrique se débarrasse pour de bon de cette catégorie ou ces spécimens de citoyens très spéciaux comme ceux-là qui honteusement font la pluie et le beau temps et dont notre destin malheureusement est entre leurs mains et dont mon vécu d’humanisme et de patriote m’interdit. Malheur aux esprits mal avertis de ne pouvoir être capables de décoder les signes divins. Mais Dieu notre Créateur vient de déclencer les hostilités contre toute forme d’injustices sur terre en nous infligeant une pandémie de Covid-19, qui aura et continue de gripper, paralysant même toute l’économie mondiale pour la mener vers une RÉCESSION sans précédent. Du jamais vu depuis des siècles. Quand nos politiques voici 5 mois, n’osent plus s’aventurer à prendre les airs pour aller traiter un simple rhume, ou faire accoucher leurs épouses en occident pour l’obtention d’une nationalité du pays d’accueil, ou faire la bamboula, prétextant des missions d’affaires pour la bonne marche de leur pays respectif, alors que rien ne va ni économiquement, ni socialement chez les populations et dont les bailleurs en sont très conscients. Que le Covid-19 emporte ceux-là même qui continuent à sucer le sang de leur peuple et que de nouveaux types de citoyens PANAFRICANISTES inondent tout le continent pour enfin, que naissent: des institutions fortes et plus jamais d’hommes forts, l’égalité des chances entre citoyens, la citoyenneté et la bonne gouvernance surtout dans la manière de gérer toutes nos ressources halieutiques, minières, agricoles, foncières et notre HUMANISME pour enfin que la voix de l’Afrique compte dans les plus hautes instances de décisions du monde. Nations-unies, Brics, UE, Fmi-Banque mondiale, Oms, Bit,…
Le président Moussa Traoré et l’Union démocratique du peuple malien (UDPM), le parti unique, dominant la politique du Mali, un pays d’Afrique de l’Ouest aux prises avec de graves problèmes économiques. À la fin des années 1980, le mouvement de contestation contre le régime autoritaire en place s’accentue et courageusement mené par les femmes maliennes en premières lignes. Attisées par la situation économique, les sécheresses et les aspirations démocratiques des maliens, des grèves estudiantines et syndicales secouent le pays. La répression est brutale, créant un climat d’instabilité qui incite les militaires à renverser Moussa Traoré le 26 mars 1991. Le général Amadou Toumani Touré assure la transition jusqu’à l’arrivée au pouvoir de façon démocratique à travers les urnes d’Alpha Oumar Konaré le 26 avril 1992, avec cerise sur le gâteau un second mandat en 1997. Voilà que les démons des instabilités institutionnelles reprennent de plus belles. À Bamako, l’insurrection ou le soulèvement populaire instantané, avec des prises de points stratégiques de la ville et des scènes de saccage à des symboles forts institutionnels (Assemblée nationale, résidence de la présidente de la Cour constitutionnelle), l’occupation des studios centraux du média public ORTM, constitue le dernier point culminant d’une fin de règne du pouvoir d’IBK et son régime. C’est la bouteille de trop! Tout est possible maintenant au Mali, même une plausible révolution du palais. Les maux sont profonds, et personne ne sait. Les grandes puissances, alliées du Mali, ne sont plus à même de jouer les missions de bons offices traditionnels. C’est le sauve-qui-peut! À qui le prochain tour, tellement que les fragments de cette insurrection seraient insoupçonnés ? Le Mali surgit ainsi comme la potentielle soupape du détonateur corrosif qui va crépiter dans la sous-région, si les racines du mal ne seront pas coupées. La jeunesse africaine, de plus en plus mature, décomplexée, a compris une chose: Rien ne sera désormais plus comme avant.
Ndiapaly GUÈYE, journaliste indépendant, Contributeur Web
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