Un certain Sibiri Samake a partagé via les réseaux sociaux un pamphlet, loin de refléter les normes d’un écrit journalistique, évoquant une présumée affaire d’exfiltration d’un terroriste malien du Nord Mali vers le Burkina. Une opération discrète menée par le général Moussa DIAWARA, puissant patron des services secrets maliens. Notre pseudo pamphlétaire Sibiri Samake attribue la paternité de cet article à CONFIDENTIEL AFRIQUE. Beaucoup de lecteurs assidus de CONFIDENTIEL AFRIQUE à travers le continent et le monde ont interpellé certains membres de la Rédaction de Confidentiel Afrique, en attirant notre attention sur la publication de cet article pour lequel, d’ailleurs, nous rejetons toute responsabilité, puisque n’étant pas publié par notre site. Tout le monde pourra vérifier les flux de nos contenus sur le site web (www.confidentielafrique.com). Après recoupements et vérifications, notre Sibiri Samake a confondu un certain site d’information du nom de Afrique Confidentielle. Ce site est selon certaines indications, hébergé aux USA. Nous rappelons que sur ce site visité par l’équipe de Confidentiel Afrique, il n’ya point de comité éditorial. Aussi aucun nom de l’équipe n’est affiché. Pour dire dans le jargon, aucune mention de l’OURS. Bref, pour dire vrai, nous n’en savons rien. Notre Sibiri Samake évoquant l’article de notre confrère Afrique Confidentielle a confondu les deux sites. Notre authentique CONFIDENTIEL AFRIQUE, n’a jamais écrit un article sur le Général Moussa DIAWARA et relaté de surcroît cette histoire de ‘’terroriste malien exfiltré par lui vers le Burkina’’. Faire du journalisme ne doit pas rimer avec la chienlit des règlements de compte.
Ces deux environnements représentent à merveille le monde de la presse en Afrique et particulièrement au Mali, où le journalisme est devenu le terrain de règlement de conflits de tous genres et particulièrement de batailles politiques, d’intérêts personnels, d’honneur… voire de règlement de compte.
Ce méfait du pouvoir sur la presse est connu de tout temps. Mais de nos jours, il a pris des proportions inouïes avec l’avènement des réseaux sociaux qui sont devenus des lieux privilégiés d’expression libre d’opinions, confondant journalisme et militantisme, affairisme et que sais-je encore d’autres.
Ce pamphlet de notre pseudo Sibiri Samaké, confère la paternité de cet article au site d’information de référence confidentielafrique.com édité par le Groupe 2AM à Dakar au Sénégal et dirigé par Ismaël Aidara, ancien de La Lettre du Continent, du magazine Africa International en France et Rédacteur en Chef de l’hebdomadaire international LES AFRIQUES, qui a plus de trente ans de pratique journalistique avérée à la tête d’une équipe de grandes plumes expérimentées dont deux talentueux journalistes maliens y occupent actuellement des postes stratégiques.
Venons en à l’objet de cet article, qui veut tout simplement attirer l’attention des professionnels et des usagers de la presse sur le danger vicieux de la reprise de contenus calomnieux, de publications tendancieuses, de faux articles de presse qui mélangent tout et son contraire. Je veux parler ici de cette guerre supposée ou vraie entre l’ancien Premier ministre Soumeylou Boubeye Maiga-qui a dirigé dans les premières années du Mali démocratique le service des renseignements de l’État- et le Général Moussa Diawara qui se trouve aujourd’hui à la tête de cette machine redoutable, grandes oreilles et mains de fer dans des gants de velours.
Dans cette situation, il est arrivé qu’une partie de la presse malienne se soit laissée aller à des digressions indignes de journalistes pour/ou contre l’un ou l’autre des protagonistes supposés- la précaution professionnelle nous oblige à employer ce qualificatif, car nous n’avons aucune preuve des faits et personne jusqu’ici n’en a fait montre.
Notre Grand Reporter Oussouf Diagola, qui a rejoint l’équipe de Confidentiel Afrique, a reçu via le truchement de transfert de message, ce pamphlet écrit par un certain Sibiri Samaké (certainement un pseudo) mettant en cause le Directeur et l’ensemble de la rédaction de CONFIDENTIEL AFRIQUE et par delà les sites portails sérieux qui existent au Mali et qui reprennent en donnant un écho apprécié à nos articles nos contenus exclusifs sur le Mali.
C’est donc, parce que confidentielafrique.com jouit d’une excellente cote de notoriété avec ses 13 millions de lecteurs et ses 325 exclusivités livrées, que Sibiri Samaké, à dessein ou par erreur- a confondu le site afriqueconfidentielle.com, qui est édité depuis Washington aux USA par CS-Smart LLC à confidentielafrique.com, que les lecteurs maliens connaissent bien et apprécient tant.
CONFIDENTIEL AFRIQUE et non Afrique Confidentielle (la précision est importante) rejette toute responsabilité du contenu de ce pamphlet de Sibiri Samake. Qui ne l’engage aucunement.
Non à confidentielafrique.com, nous avons conquis notre notoriété en mettant un prix à l’information comme le dirait Edwy Plenel dans son dernier livre « la valeur de l’information ». Notre ligne éditoriale construite sur l’exclusivité et la primeur de l’information pour les décideurs, acteurs et opérateurs de l’Afrique de demain, se cultive avec des années d’expérience et des carnets d’adresse garnis. Notre crédibilité et l’exclusivité de nos informations ont fait grimper les statistiques des visiteurs du site CONFIDENTIEL AFRIQUE à la date du 1er Janvier 2019, à 13 millions de lecteurs.
Nous ne connaissons le Général Moussa Diawara, que parce, qu’il dirige les service des renseignements généraux du Mali. Nous connaissons Soumeylou Boubeye Maiga pour avoir été un aîné dans la presse avec la coopérative Jamana de Alpha Oumar Konaré, homme politique, plusieurs fois ministre et tout dernièrement Premier ministre du Mali.
Il n’arrivera jamais à Confidentiel Afrique de tremper dans des entreprises de com indignes où la valeur de l’information est nulle. Non, nous ne pratiquons pas ce journalisme. Pour le respect à nos 13 millions de lecteurs et à la notoriété et crédibilité de CONFIDENTIEL AFRIQUE, nous tenons à dire à tout le monde que nous n’avons jamais écrit une ligne sur le Général Moussa DIAWARA.
Par le Comité Éditorial de Confidentiel Afrique
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