Le débat se pose avec intérêt. Pourquoi pas des formes dans le pétrole sénégalais? . Cette interpellation survient au lendemain de l’affaire SAR évoquée ces derniers jours par des médias sénégalais. Confidentiel Afrique publie in extenso l’article de Idriss LINGE de l’agence Ecofin ( 22 mai 2017 ) basée en Suisse et propriété du célèbre homme de médias Dominique Flaux.
Si l’opération est menée à son terme, les deux capitaux investisseurs s’offriront des sites pétro-gaziers de l’opérateur français, dont certains qui sont très importants en Afrique du Nord (Algérie notamment).
L’opération est effectuée à travers Neptune Energy, une société créée en 2015 par Carlyle, CVC Partners et d’autres partenaires, pour des investissements dans le secteur de l’énergie. « Les activités d’Engie E&P qui seront acquises par Neptune comprennent également le projet gazier de Touat en cours de développement en Algérie, où Engie continuera de conserver un intérêt substantiel aux côtés de Neptune. », a fait savoir Sam Laidlaw, le directeur général de Neptune, commentant cette opération.
C’est la troisième fois que le capital investisseur américain Carlyle est signalé sur des investissements dans le secteur des hydrocarbures. Au mois de mars 2017, on apprenait qu’Assala Energy, une autre société où elle dispose d’une majorité de contrôle, va acquérir les actifs onshore de Shell Gabon, pour 587 millions $. Plus récemment, on a appris que Carlyle Group et Glencore étaient sur la reprise de la Société Anonyme Marocaine de Raffinage (SAMIR) pour la sauver
Source : Agence Ecofin
RSS