Depuis que le Premier ministre Ousmane SONKO a annoncé la présentation du programme de rupture «Sénégal 2050 », prévue ce lundi 14 octobre 2024, les détracteurs du nouveau régime et manipulateurs hors pair ont repris du service. En voulant faire croire que le document concocté depuis plusieurs mois par des centaines de cadres de la mouvance présidentielle appuyés par une expertise locale avertie ne serait que le résultat d’un travail effectué à la va-vite par un cabinet dakarois.
Bien sûr, en perspective des prochaines élections législatives qui risquent d’enterrer définitivement les ambitions politiques de caciques du système ébranlé, le 24 mars dernier, certains s’agitent pour installer des contre-feux. En vain. Pour dire que les mercenaires et braconniers aux visages couverts reviennent à la charge. Plus téméraires et faussaires que jamais !
Après l’article sur le général KANDE, qui s’est révélé un véritable fiasco débilitant et un pétard mouillé, voulant s’attirer de l’influence et du crédit à l’instar de la grande publication internationale, CONFIDENTIEL AFRIQUE, sur la véracité du contenu de l’article, voici à présent leur deuxième coup fourré aux odeurs nauséabondes.
A notre grande surprise, un article sur le « prétendu achat du document du Projet PASTEF » paru dans une certaine publication du nom de Afrique Confidentielle fait le tour de la toile. Mais, le faux est grotesque. Il est sourcé sous la titraille de Confidentiel Afrique. Encore ces mercenaires de la plume, cachés derrière leurs claviers aux USA récidivent. Nous avons beaucoup précisé et alerté que CONFIDENTIEL AFRIQUE n’est pas Afrique Confidentielle, des encagoulés sans scrupules et qui polluent la toile à haute voltige. CONFIDENTIEL AFRIQUE, c’est plus de 13 millions de lecteurs et une équipe éditoriale dont les signatures sont connues et réputées sérieuses avec des informations fiables et jamais démenties. Il est temps que la cybercriminalité et les services compétents de l’État consacrent un peu de temps pour dénicher ces » fous » rédacteurs en perdition qui n’ont pas le courage de signer leurs articles, de dévoiler l’identité de leur éditeur et leur lieu de production. Franchement, ces mercenaires aux allures hilarantes sont impénitents. Qui sont-ils? A la solde de qui sont-ils?
Nous ne pouvons qu’alerter et notre mission s’arrête bien là où les autres compétences sont interpellées pour mettre fin à tout ce gangstérisme médiatique qui n’honore pas la profession.
Chérif Ismael AIDARA, Directeur Général et Éditorial de CONFIDENTIEL AFRIQUE
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