
La communauté sénégalaise établie au Royaume Uni est dans l’émoi, suite à la mort tragique d’un jeune garçon du nom de Ibrahima SECK, établi depuis 6 années dans la ville de Manchester. Il a succombé d’une asphyxie lors d’une rixe violente de quartier avec des badauds britanniques. La police londonienne a pris l’affaire en main.
Ibrahima Seck, fils de Assa Ba, restauratrice très connue de la communauté sénégalaise établie en Belgique avant de poser ses baluchons à Manchester (Angleterre) avec son mari Modou SECK, a été poignardé à mort dimanche par un groupe de 4 personnes, de nationalité britannique. Selon des informations crédibles obtenues par Confidentiel Afrique, trois des quatre présumés meurtriers ont été arrêtés dont une femme de 37 ans, un jeune garçon de 16 ans et un autre jeune garçon de 14 ans. Le quatrième est toujours activement recherché par les policiers britanniques. L’incident malheureux est intervenu au cours d’une rixe violente entre deux groupes de jeunes dans une ruelle de Manchester, non loin du domicile de la famille SECK. Souffrant d’un asthme aigu, le jeune garçon Ibrahima SECK n’a pu supporter l’intensité de la rixe de la bande de « voyous » britanniques, errant dans le quartier. Selon des informations exclusives obtenues par Confidentiel Afrique, la police londonienne qui s’est saisie de ce meurtre qui a consterné la communauté sénégalaise et africaine établie dans cette ville, a fait une descente au domicile des SECK pour interroger le père de la victime, Modou SECK et sa maman Assa BA. Selon des sources bien informées, l’ambassade de Belgique basée à Londres a été mise au courant de cette tragédie, car, la famille SECK détiendrait des papiers belges, du fait du droit de sol. Aux dernières nouvelles, Confidentiel Afrique a appris de source autorisée, que le rapatriement de la dépouille du jeune Ibrahima SECK devra intervenir la semaine prochaine et la famille et les proches s’affairent aux derniers réglages. Confidentiel Afrique reviendra plus en détails dans les prochaines éditions.
Par Hugues DESORMAUX (Confidentiel Afrique)
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